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Sciatique/lumbago |
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mca |
Ecrit le: mardi 09 août 2005, 13:13 |
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Membre Timide

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Bonjour,
J'ai depuis quelques semaines un lumbago accompagné joyeusement d'une sciatique à droite. La chiro qui me suit avait réussi à soulager ces douleurs mais ma profession fait que tout est rapidement revenu.
Existe t'il une solution homéo qui puisse m'aider à faire disparaître ou du moins atténuer cette douleur ?
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mca |
Ecrit le: jeudi 11 août 2005, 17:16 |
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Membre Timide

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Personne pour m'aider à solutionner mon pb sciatique ??? Bon ben tant pis ... |
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Zazie |
Ecrit le: jeudi 11 août 2005, 19:12 |
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Si... Tu peux prendre des nébulisat d'Harpagophytum (griffe du diable) achetés chez ton pharmacien.
Prendre pendant 3 jours 2 gélules 3 x par jour et ensuite 3 jours 3 x 1 cp. Dèja moins mal après un jour, un jour et demi. Je l'ai testé et au moins conseillé avec succès à plusieurs personnes!
C'est pas de l'homéo mais bon c'est aussi efficace.
griffe du diable
Z
-------------------- La santé par les plantes ; la vigne et le tabac ! |
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Frédéric |
Ecrit le: vendredi 12 août 2005, 16:41 |
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Bjr Mca,
Je ne connais pas le contexte, ni l'histoire de ta maladie et pas plus ton terrain propre... Car face à un syndrôme douloureux type sciatique, rechercher et prescrire un remède d'après la similitude avec les indications pathogénésiques pures des MMH (Mat méd Homéos) aboutit trés souvent à l'infortune thérapeutique. La guérison à proprement parler peut être obtenue en réduisant par ex la cause même en s'aidant mécaniquement avec un travail direct sur le rachis lombaire ou lombo-sacré. Au passage il faudra bien noter les modalités d'aggravation et/ou d'amélioration de la douleur, en ce qui concerne les positions et le mouvement (position statique, marche, avec ou sans charge etc...) La sciatique est discale, rachidienne existe-t-il une autre origine ? Pratiquement, se limiter au remèdes agissant directement sur la douleur (sciatalgie) BRYON, HYPERIC, RHUS TOX, COLOC, CHAMOM etc etc (2fois voire davantage) tu vois il y a le choix, et c'est bien là le problème. Le repos au lit par ex qqfs soulage, qqfs c'est bien pire avec. La réduction mécanique (si elle est bien faite) du blocage ou de la déviation vertébrale (s'il y a déviation) est de toute façon indispensable, tout le problème étant de réduire efficacement et intelligemment. Après on peut s'aider (remèdes homéos) avec les modalités majeures (celles qui se rapportent à la crise) ou associées voire carrément masquées, çà arrive aussi... Et puis les signes généraux comme l'agitation, l'irritabilité, la présence de paroxysmes. Sil y a lésion discale, c'est tout autre sujet, les modalités tiennent compte de la position (surtout) de la latéralité en fct d'une localisation donnée (les lombes oui, mais à quel niveau ??) Une douleur qui suit exactement le trajet du nerf est améliorée 9 fois sur de 10 par HYPERICUM surtout si elle est < par les secousses par ex. Un petit remède comme SPIRANTH suffit qqfs à soulager qd la douleur lombo-sciatique est brûlante à droite surtout.
Reconnais quand même qu'il y a pas mal de choses à voir...
Le nébulisat d'Harpago ? oui bien sûr puisque Zazie sort ses griffes, mais je préfère toutefois la décoction de la racine primaire (bon on ne va pas relancer le débat non plus) ou carrément l'association SIPF Ulmaire + Cassis c'est aussi de la phyto et ces plantes là sont bien de chez nous et marchent trés bien, alors... Bien amicalement
f m
Ce message a été modifié par Frédéric le samedi 13 août 2005, 15:00
-------------------- " Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue..."
Frédéric
aidé (si peu) par son frère Arthur |
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Zazie |
Ecrit le: vendredi 12 août 2005, 18:19 |
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CITATION (Frédéric @ vendredi 12 août 2005, 17:41) |
Le nébulisat d'Harpago ? oui bien sûr puisque Zazie sort ses griffes,
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Si je sors mes griffes c'est pour mieux te "griffer mon enfant" !
Y'a aussi Cassis en gemmothérapie !
Z
-------------------- La santé par les plantes ; la vigne et le tabac ! |
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mca |
Ecrit le: samedi 13 août 2005, 14:41 |
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Membre Timide

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ouh là là ça fait beaucoup de question en mm temps tout ça
Pour apporter quelques précisions je n'ai jamais vraiment eu de problèmes lombaires ou sciatique. Je suis ass mat et je soulève donc des enfants toutes la journée, plus ou moins lourds Mais je crois qu'il y a un lien certain entre ma situation personnelle et mon mal.
J'ai en fait des soucis de dos depuis quelques mois. J'ai appris que ma mère avait un cancer incurable et qu'il lui reste qq mois parmi nous. Ma fille vient d'être maman, elle est seule la papa étant parti courageusement. Mon fils aîné a des soucis financiers liés à son job ; il ne réclame rien, s'en sort comme il peut mais je souffre pour lui. Mon "n°3" me pose également quelques problèmes (ado de 17 ans pas toujours facile). Je ne suis pas soutenue pour supporter tout ça. Mon mari est présent mais ... vit pour tout autre chose que sa famille ...
Du coup c'est moi qui doit porter tout cela comme je peux. Je crois réellement que le lien entre mes maux et mes soucis est inévitable. Je vois une chiropraticienne régulièrement qui me soulage bien parfois, moins bien à d'autres moments où je suis moins prête probablement à lâcher.
Je prends des fleurs de bach régulièrement pour tenter de contrer ou enrayer les effets de mes angoisses ou soucis. Ca marche plutôt pas mal. Tout dépend là aussi comment je me sens et du degré de gravité de mon cas (que je pense parfois désespéré ).
Je me renferme dans une solitude sociale infernale. Ma profession fait que je suis coupée du monde extérieur. Je n'ai aucune activité en dehors de mon boulot. Je ne vois personne. Mes vrais amis sont peu nombreux et si loins de moi. Internet c'est bien mais ça ne fait pas tout !
Bref, un mal être qui se traduit vous l'aurez compris par des bobos physiques.
Je ne sais pas si tout çà pourra vous éclairer
PS : la position allongée me soulage totalement. Le matin je me réveille souvent (pas toujours) débloquée ou à 70%. Mais au moindre mouvement brutal ou ménager ça y est, c'est reparti ;-) |
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Frédéric |
Ecrit le: samedi 13 août 2005, 15:19 |
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Troublant ton histoire et tu me fais de plus en plus penser à BRYONIA ALBA, lis plutôt (littérature à prendre quand même avec un certain recul) :
"Bryone blanche. Synonyme: Vitis Alba. Vitis diaboli. Plante vivace de la famille des CUCURBITACÉES qui croît principalement dans les haies.
La pathogénésie de Bryonia a été établie par Hahnemann et se trouve dans sa Matière Médicale Pure. De nouvelles expérimentation ont été faites par la Société autrichienne qui en a publié les résultats dans le 3evolume de l’Oestereichische Zeitschrift für Homœopathie.
Action Physiologique
La Bryone agit plus puissamment qu’aucun autre remède sur les séreuses, sur les organes qu’elles contiennent et sur leurs dépendances, les synoviales. La séreuse la plus affectée est la plèvre et le viscère, le poumon.
La Bryone enflamme la muqueuse respiratoire, mais l’inflammation ne paraît pas s’étendre plus loin que les premières divisions bronchiques. Curie, le père de l’illustre savant, qui fut homœopathe, a démontré par des expériences et par des observations cliniques, la propriété de la Bryone de produire des fausses membranes et des exsudations plastiques au larynx, dans la bouche et ailleurs, ce qui avait été déjà affirmé par le Dr Teste, et qu’Orfila avait constaté pour le rectum.
La Bryone enflamme le tube digestif. Trousseau se contentait de la placer parmi les évacuants à côté de l’elaterium et de la coloquinte, mais les symptômes essentiels de la Bryone dans la sphère gastro-intestinale sont dus, non à l’irritation, mais à la sécheresse des muqueuses. La bryone a produit de l’ictère et de la congestion du foie..
La Bryone est un des rares médicaments qui produisent l’inflammation du tissu musculaire, d’où son emploi dans le rhumatisme qui l’affecte.
Type
Le malade de Bryonia est souvent un cholémique au teint bilieux, facilement irritable. Généralement maigre, sec, nerveux, aux cheveux noirs. Il prend facilement froid et est surtout sensible au froid humide qui survient dans les jours chauds après la pluie ou un changement atmosphérique brusque.
Dans le délire des fièvres, il parle surtout de ses occupations professionnelles et se croyant éloigné de son domicile, demande à y retourner.
Toujours amélioré par le repos, le sujet de Bryonia est immédiatement aggravé par tout ce qui peut troubler sa quiétude physique et mentale, choc nerveux, accès de colère, vexation, mouvement quelconque.
Ne pas oublier que, dans ses effets alternants elle peut provoquer des douleurs que le mouvement soulage (Hahnemann).
Modalités Aggravation: * Par le mouvement (se lever de la position allongée, se pencher); * Par l’effort; * Par la toux, la respiration profonde, en éternuant, en avalant, par le simple mouvement des yeux; * Par la chaleur (en s’échauffant, par la chaleur d’une pièce, l’été); * En prenant froid (sur une transpiration++); * Par la suppression d’une éruption; * Par le toucher (physique ou mental ++) * Suite de vexations; * A 3 heures et à 21 heures. Amélioration: * Par le repos; * Par la pression forte; en étant couché sur le côté douloureux, le bandage, en remontant les genoux; * Par les boissons et les applications froides.
Latéralité prédominante: droite.
Caractéristiques
Aggravation par le mouvement, amélioration par le repos, telle est la plus grande caractéristique de Bryonia.
Extrême sécheresse des muqueuses ayant pour conséquences: lèvres grillées, sèches, craquelées; selles dures, comme brûlées; sensation de poids à l’estomac; besoin de boire de l ‘eau par grandes quantités.
- Soif pour de petites quantités fréquemment répétées: Arsenic et Belladona.
- Soif pour de grandes quantités à de longs intervalles: Bryonia, Natrum mur, Phosphorus, Sulfur.
Epanchements dans les séreuses avec douleurs piquantes à leur niveau.
Gonflement inflammatoire des articulations avec pâleur des tissus.
Appétence pour le vin et pour le café.
Apathie allant de la langueur à la torpeur.
La chaleur aggrave tous les symptômes, sauf certaines céphalées.
Le siège de toute irritation ou inflammation est très sensible au toucher et soulagé par la pression forte.
Sensation de douleur au creux de l’estomac que le malade expriment disant qu’il y sent une pierre.
Douleurs d’indurations dans les seins au moment des règles.
Symptôme singulier: on transpire à grosses gouttes en marchant à l’air froid.
DOULEURS +++ : aiguës, piquantes, rapides, et souvent intermittentes, parfois fulgurantes le long des troncs nerveux.
Elles affectent surtout le côté droit du corps et sont toujours aggravées par le mouvement, même le plus minime; c’est ainsi que le déplacement des globes oculaires augmente terriblement la céphalée de Bryonia.
Elles sont aggravées la nuit, vers 3 heures du matin, et par la chaleur sous toutes ses formes.
Elles sont toujours améliorées par le repos, la pression forte (le malade de Bryonia se couche toujours sur le côté douloureux) et par les applications froides et les boissons. Ne pas oublier que le froid est la cause occasionnelle, sinon déterminante, des douleurs du sujet à Bryonia.
SELLES: constipation, sans aucun besoin selles dures, sèches, noires, comme brûlées, mais elles semblent toujours trop volumineuses. Constipation aggravée par le voyage en mer.
Diarrhée, le matin, dès que le malade commence à remuer dans son lit ou aussitôt qu’il est levé, à son premier mouvement: les selles sont bilieuses, brunes, quelquefois mélangées de sang.
RÈGLES: trop en avance et trop abondantes. Elles peuvent être supprimées et remplacées par des épistaxis vicariantes ou bien leur suppression a pour conséquence un mal de tête fendant.
Indications Principales
Si l’on veut bien se souvenir que la Bryone a une véritable prédilection pour les séreuses et les parties des viscères qui les avoisinent, qu’elle produit une inflammation congestive sèche des muqueuses et qu’elle est tout à fait adaptée à la diathèse rhumatismale, on ne manquera jamais de penser à elle dans les affections suivantes:
Point de côté et pleurodynie. Pleurésie sèche, surtout à droite, la douleur est aggravée par le moindre mouvement, la pression du doigt sur l’endroit lésé est douloureuse, mais le malade se couche sur ce côté pour l’immobiliser, car la pression forte et large améliore toujours.
Pleurésie à épanchement. Bryonia est indiquée par la violence du point de côté, par la nature rhumatismale ou goutteuse de la pleurésie, par l’abondance de l’épanchement, quelquefois par l’insuccès de Cantharis. En présence d’une pleurésie double, on peut affirmer le rhumatisme, et c’est une raison de plus de penser à Bryonia.
Pleuro-pneumonie et Pneumonie. Dans la pleuro-pneumonie, Bryonia est presque spécifique. Dans la pneumonie, elle sera toujours indiquée par les caractères du point de côté donnés plus haut et la localisation de l’inflammation à la partie externe, près de la plèvre. Peut suffire seule à la guérison. On peut avoir à l’alterner avec Phosphorus la nuit; avec Ipéca, si la bronchite est dominante; avec Arsenicum, si la faiblesse est menaçante.
Rhume et bronchite simple. A la période de crudité, Bryonia est tout à fait indiquée, puisqu’elle produit la congestion et la rougeur de la trachée et des premières ramifications bronchiques. Elle convient particulièrement, aux bronchites « a frigore ». Le chatouillement au niveau du sternum, à la bifurcation de la trachée, est absolument caractéristique de son indication.
Bronchite rhumatismale et bronchite pseudo-membraneuse ont presque leur spécifique dans Bryonia.
Broncho-pneumonie. Pour Jousset, Ipeca 6eet Bryonia 6ealternés, constituent son véritable traitement.
Asthme qui s’accompagne de vomissements et de points de côté (Jousset).
Inflammations des séreuses articulaires; synovites. Bryonia est le remède souverain de toutes les inflammations des membranes séreuses arrivées au stade d’épanchement. Elle est aussi utile dans la synovite idiopathique, causée par un refroidissement ou une contusions, que lorsque l’affection est la manifestation locale du rhumatisme.
Rhumatisme. Après Aconit, Bryonia est incontestablement le meilleur remède du rhumatisme aigu. Elle parait également efficace dans le rhumatisme articulaire et dans le rhumatisme musculaire elle est moins appropriée aux affections du tissu fibreux proprement dit. Les articulations peuvent être rouges, luisantes ou pâles. Elles sont toujours raides à cause de la douleur, car le moindre mouvement réveille des douleurs aiguës, piquantes et déchirantes, mais si on serre fortement avec les deux mains l’articulation atteinte, le malade peut la mouvoir, car la douleur est alors considérablement diminuée. C’est un médicament de premier ordre quand le rhumatisme affecte les muscles particuliers des lombes: lumbago; du cou: torticolis, ou le diaphragme.
Affections digestives: crampes d’estomac, gastralgies, dues au refroidissement ou au rhumatisme, dyspepsie goutteuse ou rhumatismale. Coliques intestinales, dues au froid ou au rhumatisme.
Péritonite, lorsque les symptômes caractéristiques de la douleur de Bryone existent, et surtout dans l’appendicite. C’est l’alternance de Bryone et de Belladone qui paraît le mieux agir pendant les crises d’intensité moyenne.
Névralgies et névrites. Dans la névralgie cervico-brachiale, la Bryone est, indiquée par la raideur des muscles de la nuque et du cou.
Dans les névralgies intercostales, elle est, avec Ranunculus bulbosus, le principal médicament.
Dans la +++sciatique+++ , on lui doit de fort beaux résultats. Même dans les cas chroniques avec amaigrissement du membre malade.
Mastites surtout chez la nourrice dont le lait se tarit et dont la glande s’enflamme. Les seins sont pâles, chauds et durs, d’une dureté de pierre. L’impression de pesanteur est si douloureuse et le moindre mouvement si pénible que les seins doivent être soutenus et immobilisés.
Vertiges le matin en se levant, avec défaillances dès le premier mouvement. Le même vertige se répète dans la journée, quand le sujet « se lève de sa chaise » c’est-à-dire quand il passe du repos au mouvement. Bryone, ne l’oublions pas, est un remède du matin (aggravation de 3 h.) et un remède toujours pire par le mouvement, ce qui nous expliquera les vertiges et céphalées qui apparaissent dès le matin, après le repos de la nuit, à l’occasion du moindre mouvement.
Céphalées « congestives ». Le premier et le moindre mouvement matinal, tel que le déplacement des globes oculaires ou la marche, fait apparaître la migraine qui augmente jusqu’au soir. Sensation de pression de dedans au dehors « comme si le cerveau allait éclater » exaspérée par les moindres mouvements, toux, éternuement, en respirant profondément, après avoir mangé, par la chaleur.
Toux.: grasse, facile, fréquente, causée par un grattement dans la gorge et provoquant un point de côté. Toux sèche avec des crachats striés de sang, plus forte après les repas, se terminant quelquefois par un vomissement, et amenant un point de côté que le malade comprime avec la main pendant la toux. Toux du matin en s’éveillant, en se remuant, avec des expectorations quelquefois sanguinolentes, toux sèche augmentant en entrant dans une pièce chaude et s’accompagnant de douleurs piquantes. Expectoration rare, parfois légèrement teintée de sang; les crachats sont visqueux, collants.
Fièvre: elle rappelle celle des phlegmasies et en particulier de la pneumonie; frissons secouant avec chaleur et rougeur des joues, nausées pendant les frissons, chaleur brûlante avec rougeur du visage plus marquée à une joue, grande soif. Les sueurs sont abondantes, générales, chaudes, d’une odeur aigre.
Résumé
La Bryone enflamme les séreuses et les viscères qu’elles contiennent, produisant des épanchements (pleurésies, synovites, etc.) et des congestions (pneumonies), tandis que les muqueuses restent sèches. Les douleurs sont piquantes, déchirantes, aggravées par le mouvement et diminuées par le repos. C’est la plus grande caractéristique de Bryone.
Si j'étais uniciste je te conseillerais peut-être :
- Repos complet (vacances +++ si tu peux...)
- Avec BRYONIA 1 dose 7ch à renouveler 2 fois (48h) (associée la 1ère fois à HYPERIC 7ch par ex)
f m
Ce message a été modifié par Frédéric le samedi 13 août 2005, 15:32
-------------------- " Par les soirs bleus d'été, j'irai dans les sentiers, Picoté par les blés, fouler l'herbe menue..."
Frédéric
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