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Troubles Bipolaires, recherche d'aide

« Sujets Anciens | Sujets Récents » Suivre ce sujet | Envoyer ce sujet | Imprimer ce sujet fred.dari Ecrit le: lundi 01 août 2005, 07:35 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Bonjour à tous, j'ai presque 38 ans et je bi-polaire, j'ai eu plusieurs épisodes euphoriques (avec perte de la réalité necessitant une hospitalisation) pour ensuite, après la prise de conscience de mes délires d'une phase dépressive très forte. J'ai depuis plusieurs années un traitement de fond (dépamide + antidepressif), ma maladie m'a causée beaucoup de souffrances, de problèmes affectifs, de ruptures familiales, et des choses encore plus compliquées concernant mes enfants. L'acceptation de cette pathologie est difficile au regard de la société. J'ai toujours le sentiment d'avoir une épée de Damoclès au dessus de ma tête, certe, il faut relativiser face à d'autre pathologie mais ma souffrance existe..... Je tiens absolument à conserver mon traitement qui est une rampe de sécurité mais j'aimerais connaître des astuces qui m'aiderais à encore mieux me sentir. Je sais qu'un travail sur moi même serait indispensable mais le faire trop brutalement risquerait de me faire à nouveau basculer..... Cette pathologie est en rapport avec une déficience de la libération de l'hormone régulant l'humeur, mon père est atteint du même trouble (sans avoir eu de symptomes violent mais un comportement quotidien invivable), l'une de mes soeur est elle maniaco-depressive (stade plus grave). C'est un sujet difficile pour moi, merci à tous ceux qui me liront et à ceux qui auront une aide à m'apporter (HE ? elixir floral ?). Amitiés à tous   soma Ecrit le: lundi 01 août 2005, 16:18 Membre Confirmé Groupe: Membres Messages: 95 Membre N°: 503 Inscrit le: 09-décembre 04 salut fred, les troubles bipolaires sont une maladie tout de même assez lourde dans le champ psy, ce n'est pas moi qui te l'apprendrais. tu as donc tout à fait raison de ne pas vouloir te passer de ton traitement qui doit t'être prescrit par ton médecin, car c'est le traitement le plus adapté et le plus au point dans ce domaine. Il faut bien dire que notre médecine, si moderne soit-elle est loin d'être au point pour tout ce qui touche aux troubles psy, mais ça progresse tout de même. Si je dis cela, c'est qu'il est évident que l'aromathérapie ne remplacera en aucun cas un traitement chimiothérapique pour ce type de trouble, l'aromathérapie ne fera certainement pas ici de miracle, encore qu'elle peut-être une aide de plus parmi d'autres, une petite béquille de plus ça ne peut pas faire de mal, et qui sait peut-être même de très bonnes surprises. Laissons la porte de l'espoir et des possibles grande ouverte, autrement où irions nous? Le plus important est qu'en lisant ton message tu as l'air d'être lucide sur ta situation et sur le type d'aide que tu recherches, tu n'as pas l'air de miroiter une illusoire panacée mais bien de suivre une démarche consciencieuse et volontaire pour mettre toutes tes chances de ton côté et c'est certainement la première marche vers la santé, aussi la plus dure à franchir. Ceci dit, pour aider à stabiliser l'humeur, puisque c'est de cela qu'il s'agit, il me semble que les fleurs de bach sont plus adaptées que les huiles essentielles, notamment lorsque l'on fait bien l'effort d'une démarche psychologique. Je te conseillerai tout d'abord d'aller lire ceci et ceci et cela. J'avoue peu m'y connaître en fleurs de bach, disons que je les ai découvert il y a peu de temps, il semble que leur aide puisse être précieuse et sans aucun danger (ce qui n'est pas forcément le cas de huiles essentielles). Pour les troubles bi-polaires je proposerai par exemple: pour une aide de l'humeur d'un point de vue général : _Cherry plum > peur de craquer, de perdre son contrôle > apaisement, sang froid, lucidité _Sweet chestnut > contrôle des émotions _Walnut > constance, identité, protection _Mustard > stabilité, paix intérieure, humeur égale _Rescue > pour les situations ou événements du quotidien susceptibles de malmener l'harmonie émotionnelle. plus précisément pour les périodes plutôt maniaques: _Impatiens > impatient, rapide, précipité, seul > Détendu _Vervain > sur-régime, sur-enthousiaste, en fait trop > Modération, "être plutôt que faire" Pour les périodes dépressives: _Crab apple > acceptation de soi _Gentiane > découragement devant le moindre obstacle > confiance et persévérance _Gorse > sans espoir, "à quoi bon! Ca ne sert à rien!" > foi, espoir et certitude _Horn beam > manque d'entrain, difficulté à se lancer dans l'action > aide à démarrer, fleur du "starter" _Mimulus > la peur au quotidien, crainte identifiable > force tranquille et humour _olive > épuisement, tout devient effort > vitalité et enrgie retrouvée _Rock rose > peur et sentiment d'impuissance > grand courage, oubli de soi, force de volonté _rock water > rigide envers soi, souci de perfection personnelle, idéaliste > s'accorder de la joie de vivre, esprit souple. _Star of bethléem > chagrin peine > s'ouvrir à la consolation, libération et paix intérieure _white chestnut > idées envahissantes et non désirées, préoccupations > esprit calme, orientation constructive des pensées. _Wild rose > résignation, fatalisme, passivité > dynamique, avisé, enthousiaste. sinon n'hésite pas à aller jeter un oeil sur les elixirs californiens. Encore une fois j'insiste à dire que je ne suis pas du tout spécialiste en elixirs floraux (ni en huile essentielle d'ailleurs), tiens compte de tous les avis, renseigne toi, ce qui en plus ne fera qu'approffondir ta démarche pour être sujet de ta maladie et non son objet. Sur les fleurs auxquelles j'ai pensé ci-dessus, c'est un choix très vaste que je propose sans connaître ton type de personnalité, c'est à toi de voir en te renseignant sur les fleurs de bach lesquelles te parlent le plus en fonction de ton tempérament et des émotions qu'elles désignent. Certaines fleurs qui semblent correspondre précisément peuvent ne pas faire d'effet et d'autres réagir bcp plus, tout cela est de l'ordre de l'expérimentation (sans danger). n.b. lit bien le dossier sur le modes d'emploi et les deux modes de traitement différents (émotions ancrées pour un travail en profondeur et émotions du moment pour aider sur le moment présent) Pour ce qui est des huiles essentielles, la lavande officinale, ylang ylang, mandarine et le basilic aident à lutter contre l'angoisse, contre la dépression ravensare, ylang ylang, marjolaine des jardin, petit grain bigarade peuvent être utiles. D'un point de vue général je pense que la marjolaine des jardins me semble adaptée pour stabiliser l'esprit, la lavande pour rassurer et calmer. Je ne peux pas te proposer de traitement précis aux huiles essentielles car je ne suis pas spécialiste et contrairement aux elixirs floraux il faut faire attention à ne pas les utiliser n'importe comment (non pas que les elixirs floraux doivent être pris n'importe comment biensûr, mais ils sont sans aucun danger). Voilà ce que je peux dire de mon avis, tout cela mérite grandement d'être confronté à d'autres avis et continue de te renseigner. Je pense que cela vaut le coup que tu parles de tout cela avec ton médecin et ton psychologue si tu fais une thérapie. Quoiqu'il en soit tu es sur une démarche de prise en charge de ta maladie, ce qui fait de toi un sujet à part entière ce qui est un très bon signe pour le long chemin vers le bien-être que tous nous parcourons. Ne perd pas confiance et continue sur cette voie. Sans hésiter à nous donner des nouvelles.   Chris Ecrit le: lundi 01 août 2005, 18:11 Membre Confirmé Groupe: Administrateurs Messages: 492 Membre N°: 66 Inscrit le: 20-octobre 03 Bonsoir Fred, Soma a raison les elixirs peuvent t'aider à lutter contre ta maladie. Notamment lors des crises pour les atténuer et éviter des récidives trop fréquentes. Cependant il faudrait effectivement, analyser et détailler un peu plus tes humeurs, le déroulement de tes crises.... -------------------- Amicalement Chris   fred.dari Ecrit le: mardi 02 août 2005, 05:02 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Merci Soma et Chris pour vos réponses. Effectivement que le traitement chimique que je prend m'est indispensable et que je suis vois un psychiatre toutes les 3 semaines. Je tiens à préciser que mes troubles euphoriques ne se sont produit qu'à 3 reprises (17 ans, 35 et 36 ans), suivit à chaque fois par une profonde dépression. Les deux dernières fois, j'ai "décollé" suite à un vécu personnel affectif très difficile, j'ai su analyser ses épisodes pour mieux les accepter et pouvoir les éviter (vie de couple désastreuse avec forme de harcelement moral combiné à une grossesse mal vécue et des confrontations avec le père de mon plus grand très difficile). Mon enfance y joue aussi un rôle.... Bien sûre celà m'a demandé un travail sur moi très important (seule), et je crois que j'ai su analyser le pourquoi du comment, après, j'ai effectivement cette pathologie qui serait peut-être restée silencieuse sans ce contexte. Ceci dit, c'est peut-être ce qui aider à réfléchir plus en profondeur sur les relations humaines et leur interference sur la stabilité de l'être Humain. Merci surtout d'être conscient du côté actuel indispensable d'un traitement chimique, néaùùoins, je vais essayer les fleurs de Bach. Je vous informerais des résultats mais je suis pleinement consciente que les résultats apportés sont aussi entièrement liés au vécu quotidien. Pour ceux et celles confrontés à cette maladie, n'hésitez pas à me contacter. Bien sûre, mon sujet reste ouvert....   sande Ecrit le: mardi 02 août 2005, 19:15 Membre Confirmé Groupe: Membres Messages: 113 Membre N°: 99 Inscrit le: 01-décembre 03 Bonjour et merci Fred de partager ton expérience... mon père souffrant de maniaco-dépression depuis des années je me suis quelque peu éloignée de lui, pour me protéger moi-même je crois, et c'est aidant pour moi de te lire et de comprendre un peu mieux ce que veut dire vivre avec cette maladie... Ce que je peux constater, ...ce n'est que mon avis personnel dans ma situation particulière..., c'est vraiment qu'il faut accepter de regarder au fond de soi et de faire un travail sur soi, ce que tu dis faire déjà donc bravo. Le ttt médicamenteux est indispensable et il aide à être suffisamment bien ou pas trop mal pour aller de l'avant, mais ne résout pas la cause du problème, je crois vraiment qu'il doit être un soutient pour creuser et chercher en soi les clés du problème. petites questions : Y-a-t-il tjrs une composante héréditaire à ce type de pathologie? Et y-a-t-il des étude concerant les causes déclanchantes? courage. -------------------- "Les grandes choses sont difficiles à accomplir et si vous échouez, vous perdrez confiance en vous-même. Les très grandes choses divisées en petites seront faciles à réaliser"   fred.dari Ecrit le: mercredi 03 août 2005, 11:53 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 bonjour à tous, merci de votre soutient, je ne sais pas si ce sujet est à la bonne place Sande, pour essayer de répondre à ta question, oui, il existe beaucoup de sites et de recherches à ce sujet. Je m'y pense pour mieux comprendre, accepter et prévenier ma maladie. N'hésites pas à taper troubles bipolaires dans ton moteur de recherche, tout y trouveras une mine d'informations. Effectivement, il existe une forte probabilité d'hérédité dans cette pathologie. C'est le cas dans ma famille mais il faut savoir que la médecine psychiatrique est en pleine évolution et qu'il est difficile de tracer sa généalogie en ce domaine car pendant fort longtemps, un "fou" restait un "fou" sans que la médecine ou l'entourage ne soit apte à y mettre un terme pathologique. Pour ma part et comme je l'ai déjà mentionné, ma soeur est maniaco-dépressive, mon père bipolaire (je l'ai compris en découvrant il y a deux ans qu'il prenait le même traitement que moi, mes parents auraient pu me le dire !!!!), mon enfance a été difficile d'un point de vu affectif à cause (entre autre) du caractère de mon père très colérique à la maison alors qu'il était très jovial à l'extérieur, aujourd'hui, je le conçoit car sa pathologie n'a été diagnostiquée qu'il n'y 4 ans, et encore celà reste tabou dans la famille. Pourtant ce ne l'est pas au niveau de ma soeur et moi !!! Avec le recul, je pense que ma grand-mère paternelle était elle aussi atteinte de cette pathologie. Ceci dit, il ne faut pas non plus psychoter face à l'hérédité mais en être conscient.... voici ce que j'ai pu trouver qui améliorera ma réponse : Causes des troubles bipolaires Les troubles bipolaires ont tendance à toucher des familles, on pense que dans de nombreux cas ils sont héréditaires. Plus des deux tiers des personnes atteintes de psychose maniaco-dépressive ont au moins un parent proche atteint de ce trouble, ou de dépression majeure. Cela suggère que les facteurs génétiques jouent un rôle important et qu'il est probable que la sensibilité à la maladie est liée à plusieurs gènes. Cependant, les gènes spécifiques impliqués n'ont pas encore été définitivement identifiés. Une fois que ce résultat sera atteint, il sera possible d'utiliser de meilleurs traitements et des stratégies de prévention pointés sur le processus pathologique sous-jacent. Sensibilisation (démarrage) Il est possible que le développement des troubles bipolaires soit dû à un processus de sensibilisation (démarrage). Cette idée laisse penser que les premiers épisodes de la maladie soient déclenchés par des événements stressants de la vie, mais que chaque épisode de la maladie provoque des modifications dans le cerveau qui font que l'épisode suivant est plus probable et finalement que les épisodes puissent survenir spontanément. Ce processus a été décrit pour la première fois comme une explication de l'épilepsie et ceci peut expliquer pourquoi certains des médicaments antiépileptiques sont aussi efficaces dans le traitement des troubles bipolaires. Neurotransmetteurs Les neurotransmetteurs sont des molécules qui permettent la transmission d'influx nerveux d'un nerf à un autre. Comme on pense qu'une transmission nerveuse défaillante pourrait être une des causes des troubles bipolaires, il est possible que ces molécules sont impliquées. Exemples de neurotransmetteurs, la dopamine, la sérotonine (5-HT; 5-hydroxytryptamine), l'acétylcholine, le GABA et le glutamate. Il existe différents types de déclencheur mais ce serait trop long à expliquer et je crois que les sites spécialisés en la matières t'apporteront des réponses plus adaptées. Si tu souhaite que nous en discutions, n'hésites pas à m'envoyer un mail car, non que je reste réservée sur ma vie (au contraire, partager ses expérience est la meilleur chose qui existe pour s'entraider surtout dans notre société où l'on se doit d'atteindre la perfection artificielle, sic...), mais il serait plus juste vis à vis du site d'agir ainsi. Sur ce, je reste ouverte à toute proposition d'aide et de question et m'empresse d'aller chercher des fleurs de Bach (merci Soma). Amitiés à tous   soma Ecrit le: mercredi 03 août 2005, 18:56 Membre Confirmé Groupe: Membres Messages: 95 Membre N°: 503 Inscrit le: 09-décembre 04 je t'en prie fred! Encore une fois n'hésite pas à nous donner des nouvelles sur ton sentiment et tes impressions par rapport aux fleurs de bach une fois que tu les auras essayées. Je pense que selon les individus cela fonctionne plus ou moins bien, aussi selon que l'on prend les bonnes fleurs ou non. Je précise aussi (ce que tu auras certainement lu sur les liens que je t'ai donné, ou si tu fais des recherches sur le forum, à propos des FDB) que la première semaine de traitement en D2 c'est-à-dire pour un traitement de fond, peut être un peu bousculante selon les individus encore une fois. il peut apparaître des effets secondaires (légère aggravation du trouble) lors des premiers jours de la prise, ce qui au bout du compte est bon signe puisque cela signifie que les fleurs choisies te touchent et qu'elles font leur travail ou plus exactement c'est toi qui est touché par ces fleurs-ci et c'est toi qui travaille. Mais je te rassurre cela ne dure au maximum que quelques jours (moins d'une semaine) et encore une fois cela signifie que tu utilises des fleurs qui te touchent (bon choix). D'ailleurs cela ne se réalise qu'avec certaines personnes. Par exemple, mon amie a récemment fait un traitement en D2 pour savoir mieux affronter son angoisse et c'est vrai que la première semaine de prise lui a été un peu dure à passer, mais le plus important est de ne pas cesser le traitement avant au moins 3 semaines sinon cela ne sert à rien et il faut tout recommencer et donc repasser par la 1ère semaine qui peut être un peu difficile. Le rescue en FDB est recommandé en D1(prise sans dillution) pour aider à passer ce cap. Ceci dit mon amie l'a fait et ne le regrette pas, pour elle cela a bien fonctionné. j'ai moi-même entamé un traitement en D2 la semaine dernière et je n'ai ressenti aucun effet secondaire. A savoir si c'est parceque je n'utilise pas les bonnes fleurs pour moi? Je n'en sais rien, je pourrai en dire plus dans 2semaines.   fred.dari Ecrit le: vendredi 05 août 2005, 03:01 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Voilà, j'ai commencer depuis hier avec le vervain qui m'a parue le plus adapté. Effectivement, je ressens beaucoup de choses, mais je les gère, oui je fait plusieurs choses, je ne me crois pas "accelérée" mais plutôt apaisée. J'arrive à libérer mes angoisses et j'arrrive du coup à être plus constructive car je ne gaspille plus mon energie en me remettant toujours en question. Je contrôle besoin de dire à tous ceux que j'aime que je vais bien et que c'est peut-être la première fois de vie que je me sent bien dans ma peau. (les deux fois où j'ai commencé à me sentir heureuse, j'étais calme, un peu secouée, un peu triste, et j'ai compris beacoup de choses sur moi-même, je ne plus en vouloir à certaines personnes mais j'avais besoin de pouvoir enfin dire à mes proches que j'étais heureuse.J'ai esssayé d'être très la plus méthodique possible, comment, qui en premier, où.... J'ai commencé à le faire, et petit à petit, j'ai réalisé que ne recevais non seulement aucun encouragement mais que se tissait autour de moi un vrai guépier. La première personne à qui j'ai confié mon grand secret, celui que j'ai été amené à découvrir et m'a permis de trouver des réponse sur ma construction et les raisons de mon mal intérieur (je me rappele que j'ai souffert très tôt, à 3 ans j'avais peur de l'inconnu qu'est l'univers, je souffrais à 9 ans en lisant "chiens perdus sans colliers... c'était en permanenceJ. Sa réaction à été très violente, il m'a accusée d'être folle, j'été très sereine mais j'ai compris que je ne pourrais pas rester avec lui, je réalisais aussi que nous n'étions pas sur la même longeur d'onde. 6 ans de destruction, terminé, notre fille allais avoir 2 ans. Mon fils allait avoir 8 ans (pas le même papa), le papa de ma fille n'était pas méchant envers mon fils mais il était indifferent alors que notre fille était et il le manifestait très ouvertement c'est la prunelle de ses yeux, j'ai alors réaliser qu'il avait toujours été indifferent à mon égard, que pendant 6 ans il n'a pas eu le courage de me quitter et m'a effritée lentement en me dénigrant. Prenant conscience de celà, il m'était impossible de construire notre famille : l'équilibre de mes enfants était en danger. Comment j'aurais pu aimer correctement mes enfant en surprotégeant mon fils qui réalisait ce qu'est un père (il ne voit pas le sien), j'aurais surcompensé pour mon fils qui subissait, comment mes enfants se serait aimés. Mon fils aurait pu devenir méchant envers sa soeur, ma fille aurais pu devenir gachée et nous toiser, peronner devant son frère. Qu'elle image de l'homme, de la femme et de l'amour allait elle avoir ? Et le pire est que j'ai alors réalisé que je prenais le risque de mal aimer ma fille par la surcompensation auprès de son fils. Je n'ai pas voulu la blesser, risquer un jour de lui dire des choses méchantes par ce que je n'aurais jamais été une femme heureuse..... Voilà, quelques après, j'ai prevenu mes parents que j'avais pris la décision de quitter le père de ma fille, ils se sont posé des questions mais j'ai parlé de leur petit-fils et ce qu'il vivait, là il l'ont accepté. J'ai annoncé au papa dans le calme que je souhaitais qu'on se quitte (il avait un logement qu'il n'avait jamais lâché, cadeau de son père.... il allait y dormir si je soulevais une question......... (jamais depuis la grossesse). Pour la puce, tout était neuf, mais je ne voulais pas qu'ils ne souffrent. Je lui ai promis qu'il était en droit de la voir quand il voulait, on allait légaliser nos devoirs de parents en bonne intelligence. Quelques jours après, il m'a demandée à avoir notre puce quelques jours, forcément, ces deux là s'aiment tellement que je n'ai pas le droit de les priver l'un de l'autre. J'ai téléphoné pour avoir des nouvelles de mon bébé, il me disais ça va, rien de plus, je voulais des détails pour me sentir proche de mon bébé de11 mois qui me manquait et la rassuré sur le fait que je ne l'avais pas abandonnée. Son papa, je le sais ne lui parlait pas de moi. Inquiète car la révélation d'une forme de compréhension remet beaucoup de choses en question, je ne pouvais pas restez avec lui mais il n'avait pas le droit de me laisser sans information sur notre fille. J'ai eu mal, j'avais vbesoin de la savoir heureuse, je savait que oui mais je savais qu'elle était dans une sitaution traumatisante car elle ne savait pas si on se reverrait, je la connais; elle devait faire semblant d'être bien pour ne pas blesser son père mais au fond elle m'appelait. J'ai commencer à perdre pied, m'a famille m'a fait hospitalisée, ils m'ont salie devant la psy, humiliés, le père de Nausicca aussi. Chacun venait avec des preuves! de ma folie sans laisser le droit à la médecine de m'évaluer. Mon père était le tier... Je suis sortie après 3 semaines d'hospitalisation.................. La deuxième fois, un an après, à nouveau de graves révélations.................. mes parents commencait leur travaille de sape, le père de ma fille aussi............., je n'ai pas été assez forte, j'ai à nouveau perdu le contrôle. Mon père est venu un jour avec mon généraliste, il exigeait l'hospitalisation à la demande d'un tiers. Mon généraliste a recadrer mon père et m' évaluée, il me connait depuis17 ans (ce n'est du tout celui de mes parents). Il m'a dit très gentillement qu'il me sentait épuisée, amaigris mais combien lucide, je crois qu'il avait compris avant moi que j'étais dans un contexte familiale particuliers, que mon père ne se maitrisait pas face à moi, il était accusateur, que j'étais dèjà en situation de danger et qu'il faillait me mettre à l'abris.Mon médecin a alors dit qu'il préfèrerait que je sois hospitalisée, j'ai pleurée, je n'avais pas le sentiment de m'être si épuisée que celà . Mais comprenant que j'étais sur la corde raide, voyant mon père pleurer, j'ai compris que si ce n'était pas pour aujourd'hui ça allait forcement m'arriver, je commençais à comprendre que le harcelement que je subissais allais continuer et que je finirais très rapidement à l'HP à la demande d'un tiers, mon père. Je l'ai compris quand mon médecin m'a dit tranquillement "je vous connais je sais que vous trouverez les ressources necessaires pour sortir de là bas. Je suis sortie au bout d'une semaine pour aller chercher des papiers administratifs. J'ai réalisé que je n'avais pas les clés de chez moi, j'étais devant la porte de chez moi.... J'ai compris que ma famille avait un drole de comportement,, inquiétant. A l'hopital j'avais le droit de téléphoner et de recevoir des appels.Ils m'appelaient mais je n'avais pas le droit de parler à mon fils, il n'était pas là alors que je l'entendais derrière " c'est qui" et mon père "juuuuuuuuuuuuuut". Ils se croyaient discrets, si la psy m'avait jugée plus malade elle aurait interdit les appels. Le père de ma fille agissait de même, et lui qui était critiqué par mes parents depuis l'année précédente, quand je l'avais quitté et surtout accepter la garde alternée par amour pour ma fille. Ma mère m'en voulait d'avoir accepter ce système de garde, non pas vis à vis de ma puce mais vis à vis de mon loulou qui allais perdre ses repères, c'est allé très loin, quand leur avait annoncé la veille du passage devant le juge aux affaires familiales, ma mère que je n'avais jamais vu perdre son sang froid à péter un cable au téléphone, " t'es complètement folle, t'a vu le mal que tu nous fais après tout ce qu'on à fait pour toi (j' avais arrêté cette décision avec à la fois amour, raison et peur, le père de Nausicaa (je sortais de l'HP depuis 2 mois quand on a vu le JAF, et depuis il me hardelait en me demandant de faire ce choix car il avait constitué un autre dossier pour de demander la garde de notre fille alors constituait un dossier psychiatrique pour accumuler les preuves, mes parents de leur côté me harcelaient pour constituer ma défense, mon père m'avilisait en dictant ma conduite, me dictant les courriers pour mon avocat. Ma mère m'affirmait qu'il n'aurait aucune chance de gagner, je n'avais rien fait de grave, j'avais été malade). Bref, ma mère m'a fait chantage au suicide (elle!!!!), et ne veux plus voir Ta fille, si tu fais ce choix je ne veux entendre parler, pour moi elle n'existe plus. Et tu ne mérite pas d'elever ton fils, tu vas le détruire, et ton frère et sa femme qui le meriterait stérile et refus de la DDASS pour l'adoption. Elle m'a raccrochée au nez, un peu secouée mais ma décision était arrêtée. Et j'ai aussi réalisé que je pourrais jamais regarder mom amour dans les yeux si un jour elle m'avait demandé des explications(pourquoi tu ne m'as pas laissé vivre chez mon papa, je l'aime), et c'est vrai, ça a été une symbiose dés le moment de la naissance. après, ce harlement.... il avait peut-être peur d'avoir des droits classiques, par amour pour notre fille il a donc préparé ce dossier contre moi.. Mes parents se sont excusés de leur conduite, le lendemain (peur que je leur refuse de voir mon fils....). (suite de devant la porte)!! Ma belle-soeur devait arriver chez moi avec moi fils, il habitait chez mon frère et ma belle-soeur , de chez une voisine j'ai appelé ma mère pour lui dire que j'avais eu une autorisation de sortie pour des papiers et que ça tombait bien que ma belle-soeur arrive et que j'étais contente de voir mon fils, là elle m'a dit qu'il était préférable que mon fils ne me vois pas, je suis malade...., que ma belle-soeur m'amenerait ces papers le lendemain en allant me voir à l'HP, pas possible je ne savais pas où ils étaient, je suis désordonnée mais je retrouve toujours tout. Et relessivage de ma mère, oui tu comprends pourquoi je ne veux pas que ton fils te vois, le pauvre petit, ce qu'il nous raconte, ils le questionnaient pour mieux extrapoler et trouver des preuves de ma folie quitte à en inventée. Là j'ai repris de l'assurance, mon amie avait accepté que je mette le chorus, je pressentais des choses graves sur l'évolution de ma maladie qui m'empêcherais de trouver la paix intérieur, je comprenais que mon entourage m'était néfaste. J'ai précisé à ma mère calmement mais fermement que déjà, il n'a avait aucune contre-indication à ce que je téléphone et donc que j'avais le Droit d'avoir mes enfants; et que de surccroi j'avais l'autorisation que mes enfants viennent me voir et leurs arguments que ce n'est pas un endroit pour les enfants,stop, d'autre s enfants viennent voir leur parent , les structures sont adaptées, ils n'entrent pas dans les unités de soin. Alors j'ai été ferme, je lui ai dit que je n'étais pas trop malade non plus sinon l'hopital ne m'aurait pas donnée une autorisation de sortie, je rentrais le soir, j'aurais eu le plaisir de voir mon fils, prendre mes papiers.. et retourner à l'hopital continuer mon hospitalisation. Je voulais la rassurer sur mon état de santé. Mauvaise pioche, une avalanche d'insulte 'que je n'avais jamais entendu sortir de sa bouche. Salope, petite pute, alcoolique, droguées, tu invites des amis à manger, tu fréquentes des pt'ts jeune, là encore ta copine sur la photo de ton anniversaire quelle age elle a ? et c'est quoi tout ce monde chez toi ? t'avais laissé des garçons dormir chez toi je leur avais epliqué à l'époque que certains avaient un peu dépasser le seuil d'alcool et qu'il était hors de question de les laisser prendre la voiture, mettre la vie des autres et la leur, merci bien, nous avions passé une soirée très sympa, mes parents l'ont jugée comme une orgie et s'en sont servis par la suite comme un nouveau sujet de harcelement. Bref elle a conclu en me disant que je faisais comme je voulais mais qu'elle fairais tout pour que je perde mes enfants parceque j'étais folle, et là du tac au "et oui je sais que c'est mon frère et sa femme qui eux méritent de l'élever (mon fils), réponse "p'tite garce", fin de la conversation. J'ai appelé immédiatement le serrurier pour avoir accès à chez moi afin de ne pas avoir à avoir à me confronter à ma belle soeur devant mon fils, mon loupiot certainement dans une fragilité psychologique, ce n'était pas le moment de risquer qu'il ne soit choqué par une scène violente pour un enfant de son age, chaque chose en son temps, évaluer; urgence = protéger, intervenir, ensuite réparer pour guérir. Le serrurier a ouvert la porte au moment même ou mon fils arrivait avec l'autre, j'ai ressenti une peur panique à travers le regard de ma belle soeur, elle dégageait l'impression d'être face au diable. J'ai été destabilisée par la tête qu'elle faisait, elle avait peur mais d'une façon malsaine, j'ai eu un flash en réalisant ma nouvelle découverte mais trop violement. Le serrurier me demandait d'entrer chez moi pour signer la facture mais je ne voulait pas perdre mon fils de vue, la loi oblige à signer la facture dans l'appartemnt pour se dégager de ses responsabilité, ses pas un flic, il ne pousse pas ses investigations pour être sûre qu'il n'a pas affaire à une escroquerie, le père de mon fils est resté cautionnaire (règlement des HLM sic...) encore 5 ans après que je l'ai quitté, imaginez qu'il pouvais entrer chez moi à tout moment il avait et des quittances et une pièce d'identité! mais si le serrurier n'en finirait pas..., j'ai cédé comprenant qu'il ne dérogerait pas à son règlement, je suis entrée chez moi tout en surveillant le palier, je commençais à pressentir le pire, on essayait de m'enlever mes enfants en utilisants ma "folie" comme argument, mais en plus ils me poussaient à rechuter quand je devenais dérangeante (à chaque fois que j'ai commencée à être heureuse..... .J'ai vu l'autre appeler l'ascenseur et j'ai réalisé que je risquais de perdre mon fils,je ne pouvais pas perdre mon sang froid, mon fils était là! Consciente mais désespérée, en état de choc, une violente pulsion de me defenestrer m'a envahie, je ne trouvais plus d'issue à mon désespoir, à mes souffrances, il fallait aller vite, je ne voulais pas que mon fils arrive en bas avant moi, je voulais que dans cette situation ils soit suffisement intelligents pour que mon fils ne me voit pas en bas. En un quart de seconde j'ai regardé l'autre, j'ai regardé mon fils (moment très douloureux), gardé mon sang froid, toujours pour protéger mon amour, éviter le serrurier, et calculer la rapidité et l'itiniraire le plus adapté pour sauter au plus vite , que surtout aucun élément ne puisse m'empêcher de le faire. J'ai soudain entendu une voix intérieur qui m'a dit non frédérique ne le fait pas non, ça fait drole et là ça a détruit ma pulsion. J'avais décidé de me battre puis que je comprenais beaucoup de choses pour me renforcée. Je n'avais pas bouger pendant l'élaboration de ma defenestration et la voix, qui sortait d'ailleurs . J'ai pris mon courage à deux mainsj je suis retournée sur le palier, j'ai regarder mon fils dans les yeux d' une façon déterminée et rassurante pour le préparer à ce qu'il entendrais. Calment mais fermement, j'ai regardé l'autre et je lui dis "ce n'est parceque mon frère est stérile et que vous n'avez pas eu l'accord pour adopter qu'il faut qu'elle s'image que je les laisserais elever mon fils, sur ce elle est devenue furieuse, méchante, ils sont rentrés dans l'ascenseur. J'ai laissé faire, déjà parceque il n'y avait rien à faire à ce moment et surtout entre le serrurier, une voisine qui a ouvert la porte quand l'autre s'est comporté comme un monstre, mais c'est encore moi qui perdait mon sang froid, retour à la case départ, bon moyen de faire croire à ceux qui ne te harcèlent pas que tu est vraiment folle.... Je suis rentrée chez moi, le téléphone à sonner dans quard d'heure et la mère m'annoncer, "bien fait pour toi t'avaient prévenus, et bien tu as gagné, ton père à appeller le procureur pour demander, compte tenu des circonstantes, avoir l'autorité parentale de ton fils et il l'a obtenu! bien fait si tu refuses de te soigner il est hors de question que tu vois ton fils (pour mes enfants, je protège leur prénom pour que risque qu'il découvre cette réalité sur notre histoire, mais je tiens à ce qu'il y ai accès en temps voulu, eux aussi ils ont souffert. Donc ma mère nomme toujours mon fils par son prénom et ma fille, ta fille.......). Donc le père de Ta fille a fait une demande de référé pour élever sa fille en demandant l'autorité parentale unique sans droit d'hebergement mais de visite dans un lieu protégé..... et il a bien raison!" Moi : "évidement, il y a un an que tu m'en veux pour la garde alternée, et je me rappeles très bien que tu m'as dis que je ne méritais pas d'élever......." "Tu vois bien que tu es complètement folle, tu ferais mieux de retourner à l''hopital, tu ne te rends pas compte que tu délire, je ne tai jamais dis ça, tu te rends compte de jusqu'où ça va, tu vas finir par tous nous rendre fous. Ecoutes ma petite fille, fais moi le plaisir de rentrer immédiatement à l'hopital, penses à nous et à ton fils.... " le tout dit avec conviction, mais sans affection. Ma réponse a été claire " je suis folle ou je commence à être dans la réalité". "petite salope" plus de tonalité... Une heure après, mon père qui téléphone "tu vas immédiatement à l'hopital ou je fais venir la police chez toi pour t'y emmenez" moi "mais c'est complètement ridicule je suis en hospitalisation libre, la police ne se déplace que si c'est HDT ou une hospitalisation d'office" et je raccrochais à chaque appel après avoir démonter calmement leurs arguments. Je ne voulais pas me redétruire en retombant dans le piege de la victime qui est toujours soumis à l'agresseur et qui continue à parler, à écouter pour continuer à argumenter. C'était prendre conscience en direct brutalement, et en quantité importante d'une prise de conscience, c'est très éprouvant. J'ai réussi à tenir les rênes pour pour de pas repartir en live, j'ai pour la première fois depuis longtemps su me préserver et je n'avais pas d'autres choix, ça n'était pas le moment de fuire la réalité quand on encaisse trop de chocs émotionnels dont personne ne tient compte, l'urgence c'était mes deux enfants. J'étais consciente que je riquais de les perdre si je j'agissais étape par étape car il fallait bien construire pour mettre toutes les chances de mon côté. RV chez mon psychiatre pour qu'il me suive, recommencer à dormir quelque soit le moment et la durée, RV chez ma généraliste, décompresser un peu, mais rapidement pour être au maximum de ma forme et mieux affronter mes épreuves (avocat; choc emotionnel, enlevement de mes enfants). Le pire et je n'y étais pas préparée, allait arriver. Dés le lendemain matin, sonnette à l'interphone, mon père qui m'ordonne de lui ouvrir, je refuse fermement, il ressonne et me précise qu'il est avec le père de mon fils. Ce papa qui a désiré un fils, qui était trop malheureux donc trop destructeur (l'alcool mais jamais contre moi le tant que l'on soit ensembles). Ce papa qui n'arrivait pas à prendre son fils dans ses bras tant il avait peur de lui faire du mal. Mais ce papa chez qui le fait de devenir père l'amener à se référé à ses parents, et là c'est gratiné. Il n'a pas supporté le choc de la naissance. Il a continué l'alcool, de plus en pluce, il devenait, lui déjà révolté, de plus en plus en colère contre la société, les bourgeois les racistes. Je vais me coucher, je me sens bien mais fatiguée, je sais que j'arriverais à faire la suite........... merci d'exister, je réalise que je ça fait depuis presque 6 heures que j'écris.... et sans avoir fait de brouillon, j'vais quand même relire avant de poster . C'est vrai que j'ai trouvé involontairement la technique de travail sur soi la plus adaptée à mon tempérament C'était une démarche trop diffile pour moi dans le sens où je j'avais pas trouvé la technique sur mesure. je ne me rendais même pas compte que depuis 22h. je n'ai pas relaché, pour ainsi dire (pause cigarette...., ) le clavier, je n'ai même plus le courage de continuer pour ce soir, il vaut Félicitation à ceux qui auront eu le courage de me lire jusqu'au bout , je ne sais même pas si ça suscite un intêret pour vous mais pour moi c'est très bénéfique. Je comprendrais que les modérateurs me censure je n'ai pas ma place sur ce forum, je ne sais pas encore oû est ma place sur le net!!! Ma place est aujourd'hui avec deux amours (que j'ai retrouvé au bout de deux mois de lutte, grâce à certaines personnes qui ont été conscient que j'étais effectivement victime de harcelement moral,de la part du père de ma fille, de ma soeur, de mon frère, de mon beau-frère, de mon père, de ma mère et de l'autre. allez STOP pour ce soir dodo bonne nuit à tous et .   muguet Ecrit le: dimanche 07 août 2005, 20:14 Membre Confirmé Groupe: Modérateurs + Messages: 1470 Membre N°: 11 Inscrit le: 07-septembre 03 CITATION Je comprendrais que les modérateurs me censure je n'ai pas ma place sur ce forum, je ne sais pas encore oû est ma place sur le net!!! blush.gif Je ne vois pas l'intérêt de te censurér, Fred.dari. Je trouve ton temoignage assez impressionant et le fait d'en parler de la manière assez courageux! Muguet -------------------- Ce n'est qu'un au revoir, j'espère....   fred.dari Ecrit le: dimanche 07 août 2005, 20:36 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Bonjour à tous ceux qui m'ont lue jusqu'au bout, l'elixir floral vervain m'aide beaucoup. Je viens de relire mon dernier message (pas eu le courage de le faire avant de le poster) et , je me comprends mais bonjour les confusions (c'était un moment très éprouvant). Ma fille avait en fait presque 1 an quand j'ai quitté son père... La suite ne présente plus d'intérêt, ce qu'ils ont fait était illégal et basé sur le harcelement pour me laisser croire que j'avais déjà perdu mes enfants, rien n'avait encore été officialisé........ Heureusement, mon avocat, l'équipe soignante du ch spécialisé, la directrice et la psychologue de la crèche de ma fille, mon cabinet de généralistes, mon psychiatre, des amis et surtout celle qui m'a soutenue jusqu'au bout m'ont permis de sortir de ce cauchemar et dignement puisque la justice elle-même l'a admis. De mon côté, je n'ai aucun intêret à porter plainte contre ceux qui nous ont fait ça......, c'est ce passé qui m'a permis de me débarrasser de 30 ans de souffrances. Maintenant, la vie continue........... Si quelqu'un désir me parler personnellement quelque soit son besoin concernant mon histoire, faites le par mail . Merci encore à tous, je continuerais à intervenir sur le forum mais pour des raisons autres...   fred.dari Ecrit le: dimanche 07 août 2005, 20:42 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Muguet, nos réponse se sont croisée, merci à toi, et plus encore mais je crois que j'ai compris une partie de ma vie passée et que ceux qui voudront mieux se comprendre ou mieux prendre conscience de situations plus complexes qu'il ne le paraît pourrons toujours me contacter à ce sujet. Bonsoir à tous   clem Ecrit le: lundi 08 août 2005, 12:00 Membre Confirmé Groupe: Membres Messages: 118 Membre N°: 715 Inscrit le: 26-mars 05 Grand bravo pout ton courage Fred dari et que la force soit avec toi.   fred.dari Ecrit le: lundi 08 août 2005, 20:23 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Mais la force est en chacun de nous si on a la chance de savoir la trouver   sande Ecrit le: lundi 08 août 2005, 20:34 Membre Confirmé Groupe: Membres Messages: 113 Membre N°: 99 Inscrit le: 01-décembre 03 merci pour tes réponses Je suis contente de savoir que ça s'arrange enfin pour toi... bonne chance pour la suite. -------------------- "Les grandes choses sont difficiles à accomplir et si vous échouez, vous perdrez confiance en vous-même. Les très grandes choses divisées en petites seront faciles à réaliser"   fred.dari Ecrit le: mardi 16 août 2005, 07:23 Membre Actif Groupe: Membres Messages: 37 Membre N°: 840 Inscrit le: 05-juin 05 Bonjour à vous tous, là, je me sens enfin moi même, merci de votre soutient. Un jour, qui sait (?), je vous remercierais encore plus, vous m'avaez fait le cadeau de savoir entendre avec votre coeur. C'est vrai, je crois avoir presque bouclé une auto-analyse, celà, je le dois à beaucoup, dont à tous ceux du site qui ont su me lire. A bientôt. et Frédérique

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